Une femme s'amuse de la façon dont son grand-père s'occupe d'un sale gosse pourri gâté

Jan 30, 2019

Lorsque vous êtes à la recherche d'une bonne blague, la communauté " "/r/Jokes" du site internet Reddit est une excellente source de rire. Toute les personne qui ont des enfants ou qui connaissent un enfant ou qui ont été un enfant se reconnaîtront dans ce favori de Reddit.

L'histoire met en vedette l'épicerie d'un grand-père avec un jeune qui se conduit mal. Les magasins sont remplis de personnages qui vous font regarder à deux fois, mais le plus troublant, ce sont les enfants qui font des crises de colère époustouflantes laissant leur parents dans l'embarras et à la frustration.

Tu connais les enfants. Ce sont eux qui ont des mains sales qui s'emparent de tout ce qui est à leur portée et qui pleurnichent, crient et donnent des coups de pied quand leurs parents leur disent non.

L'histoire raconte qu'une femme parcourait les allées d'une épicerie locale quand elle a vu un vieil homme faire les courses avec un enfant qui se tortille. Allée par allée, elle vit l'enfant passer d'un léger ennui à une véritable crise de colère, malgré les vaillantes tentatives de l'homme pour l'apaiser. Continue à lire, et tu comprendras ce que nous voulons dire.

La femme a vu le vieil homme lutter pour garder l'enfant qui se conduisait mal sous contrôle. Le garçon supplié pour avoir des bonbons dans l'allée des bonbons. Il a crié pour des biscuits dans l'allée des biscuits, et les singeries du garçon augmentaient dans chaque nouvelle allée.

Pendant ce temps, l'homme pouvait être entendu dire : "du calme, William. Ce sera plus très long. Tiens bon."

Au cours d'un autre accès de colère, la femme entendit l'homme dire : "ça va aller, William. J'ai presque fini. Nous partons bientôt." Puis, dans la queue pour payer, elle l'entendit presque scander de la voix la plus calme qu'elle n'ait jamais entendue : "William, William, mon garçon, calme-toi, vas-y doucement. Il n'y a pas besoin d'être contrarié. Cinq minutes et on s'en va. Reste cool. Tu peux le faire, William."

La femme a été impressionnée par la capacité du vieil homme à rester calme face à une telle agitation. Quand elle a fini de payer, elle a été surprise de voir qu'elle s'était garée près de l'homme et de l'enfant. Elle a vu que l'homme était en train de charger des provisions dans un VUS et n'a pas pu résister à l'envie de lui parler. "Pardonnez-moi, mais vous étiez plus qu'incroyable là-dedans. Comment faites-vous ?"Elle a repensé aux crises de colère, l'une après l'autre dans le magasin.

Certaines étaient si bruyantes qu'elle pouvait les entendre de loin. Elle se souvenait comment l'homme qu'elle prenait pour le grand-père de l'enfant essayait de l'apaiser

"Tout va bien, William. On aura bientôt fini. Reste calme. Tout se passera bien." Même pendant l'apogée des caprices de l'enfant démon alors qu'il avait jeté un paquet de petits pois congelés sur la tête du caissier, son grand-père avait gardé son calme en disant : "William, assez, c'est presque fini. William, tu peux le faire. Restez calme. Cinq minutes et on s'en va. Juste cinq minutes."

Si impressionnée par lui qu'elle se tenait sur le parking, oubliant la glace en train de fondre dans son sac, alors qu'elle parlait à l'homme âgé. "Je ne sais pas comment vous avez fait. Votre petit-fils a agi si horriblement et pourtant vous êtes resté l'incarnation du calme, de la fraîcheur et de l'harmonie. Je n'aurais pas pu le faire. William a de la chance d'avoir un modèle comme vous dans sa vie."

L'homme avait l'air un peu confus et a dit : "Merci, mais je m'appelle William." Il a montré du doigt le garçon qui boude encore assis dans le chariot. "Le morveux, c'est Kevin."

Pouvez-vous imaginer ça ? C'est tellement ancré en nous de calmer un enfant perturbateur qu'il n'est jamais venu à l'esprit de la femme que l'homme travaillait dur pour maintenir son propre calme. Bravo, William ! Nous aimerions que plus de gens soient comme vous.

Ça t'a fait rire ? Pense à ce que tes amis et ta famille diront quand ils liront ceci. N'hésite pas à leur en faire part !